La France a condamné dimanche la violence qui "ne peut aboutir qu'à une impasse"
texte complet en commentaire
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Salama, un tout petit groupe ,intéréssé par culture malgache,, Chacun pouvant au rythme de ses foucades, y déposer son grain de sel,, échange d'articles divers, Si vous cherchez un film, un article, un livre sur lequel vous n'arrivez pas à mettre le grapin sur Mada, faites nous signe...sainagasydadabe@gmail.com
1 commentaire:
Manifestation sanglante à Madagascar: Paris condamne la violence
AFP 08.02.09 | 19h47
La France a condamné dimanche la violence qui "ne peut aboutir qu'à une impasse" à Madagascar où au moins 28 personnes ont été tuées samedi lors d'une manifestation d'opposition réprimée par la garde présidentielle. "La France condamne la violence et ce qui y conduit. La violence ne peut aboutir qu'à une impasse", a affirmé le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. Paris "exhorte, une nouvelle fois, toutes les parties à s'unir afin de rejeter la violence, favoriser pour le bien de tous un dialogue pacifique et trouver la voie de la réconciliation nationale", selon le texte. La garde présidentielle a tiré samedi sur des partisans du maire d'Antananarivo, Andry Rajoelina qui marchaient, à l'appel du maire, sur le palais abritant le bureau du président dans le centre d'Antananarivo. Fin janvier, au moins 68 personnes étaient mortes dans la Grande Ile de l'océan Indien, selon la gendarmerie, dans les violences, pillages et émeutes. M. Rajoelina et le président Marc Ravalomanana entretiennent des rapports tendus depuis l'élection du maire en décembre 2007 comme candidat indépendant. Le bras de fer s'est nettement durci depuis la fermeture par le gouvernement, le 13 décembre 2008, de la télévision privée de M. Rajoelina, "Viva", qui avait diffusé une interview de l'ex-président en exil Didier Ratsiraka. Andry Rajoelina, qui a engagé des procédures pour destituer le président Ravalomanana, a lui-même été destitué par les autorités. La fusillade de samedi est intervenue peu après un rassemblement sur la place du 13-Mai où M. Rajoelina, qui a lui-même engagé des procédures de destitution du chef de l'Etat, a pris la tête d'une "Haute Autorité de transition", censée à ses yeux remplacer le pouvoir en place
Enregistrer un commentaire