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30 novembre 2013 |
Paris, précieux partenaire de l'espionnage de la NSA

De nouveaux documents soulignent l'autonomie des services secrets en matière de stratégie du renseignement
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L'indignation
manifestée par le chef de l'Etat français auprès de son homologue
américain, après la publication, fin octobre, par Le Monde, de
documents internes de l'Agence national de sécurité (NSA), montrant
l'ampleur de l'espionnage à l'encontre des intérêts français, a pu
laisser croire que la France était une parfaite victime.
De nouvelles pièces, transmises au Monde par Edward Snowden, un ancien consultant de la NSA, lèvent, pourtant, le voile sur une autre réalité : celle des liens extrêmement étroits noués par les services secrets français, la Direction générale des services extérieurs (DGSE), avec, d'une part, la NSA et, d'autre part, son équivalent britannique, le GCHQ, soit les deux plus puissantes structures d'interceptions techniques au monde. des Français comme à des étrangers. La DGSE peut trier certaines d'entre elles et ainsi préserver des secrets concernant la France, mais elle ne peut pas tout identifier. . . . Jacques Follorou
© Le Monde
suite pour les malgaches de Mada ayant fait un bisou à Dadabe
------------------- ![]() Ecoutes : Bernard Barbier, le « Monsieur Grandes Oreilles » françaisPortraitLe directeur technique de la DGSE a développé un outil performant et tentaculaire.
LE MONDE |
• Mis à jour le
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Nathalie Guibert
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