http://vazogasydadabe.blogspot.com/2009/06/ziskakan-casino-de-paris-live-2004.html
Petite émision de l'été, que nous avons trouvé trés sympathique,
nous vous en reparlerons, trés bientot...
Rabearivelo,est un peu tiré a hue et a dia, dans le journal "La Tribune"
Nous avons essayé d'attirer l'attention , du leader d'opinion, qu'est devenu Ndimby, sur la faiblesse ,sinon, l'inexistance , de la rubrique, "culture" dans son journal
Sous les feux ,de l'actualité de la crise, la rédaction de ce journal a concédé (manipulé peut étre ? ) , une tribune libre de lecteur, a ,un travail de chercheurs ,remarquable, autour de l'oeuvre de Rabearivelo,
Il situe ,clairement, l'intérét que ce journal porte a cette entreprise,
Instrumentalisé, d'évidence ,dans le sens de la politique éditorriale, trés fluctuente , du moment
La cheville ouvriére de ce projet,s'est a mon point de vue laisser piéger, croyant devoir répondre a ce pamflet ( Dadabe,pamphlet !!! pamflet, est la racine anglaise,de ce mot, par pitié ,sacre bleu,..en un mot, bordel de merde!! fucking hell)
S'incrustant, dans une sorte de poupée russe, qui ne cache rien du tout
Cela se comprend, pour les malgaches,vivant au quotidien,depuis des mois cette crise
De la part, de malgaches expatriés, nous nous étonnons,de leur manque ,de recul, soufflant sur les braises,ils rivalisent ,de fanfaronnades , méme dans les tribunes, les plus autorisées du journal
( je ne parle bien entendu ,pas de Liliane Ramarosoa, qui n'a eu qu'un droit de réponse,dans la tribune libre des lecteurs ;
le ton de sa collégue ,Nivoelisoa GALIBERT,pourtant prompte à se mettre en boule, me semble mieux convenir, a ces vociférations )
Pour les vazahas, connaissant , bien Mada, nous remarquons leur retenue, ,tous ceux que je connaisse, ont le souffle coupé, et redoutent le pire...
notemment devant l'alarme,lancé par le doyen de l'Université d'Ankatso, qui n'exclue pas des 'révoltes populaires de la faim, comme en a connues ,récemment le Cameroun (in magazine France 5 )
La position du journal "La Tribune" reflette, adoube, je le crains, un désintéret
,sinon une désaffection, de la population malgache, pour l'oeuvre, d'un écrivain francophone,
Il en est de méme, pour des auteurs plus actuels, comme Raharimanana, ou bien, Rakotoson,
Nous prendrons pour exemple, la parution,courageuse, dans le journal,l Express" de bonnes feuilles de son livre "Lalana"peu,est dire qu'il a ulcéré,l'écrasante majorité ,de mes amis malgaches, qui n'ont eu que des sursauts de déguout
Que dire,de l'accueil,par le public malgache, du livre "Nour 1947" mélangeant aux souvenirs d'un prétre, une romance,
le tout emballé dans une page de l'histoire de Madagascar ? sacrilége? comme je l'ai entendu dire
http://picasaweb.google.com/leminot/RABEARIVELOJeanJosephLInterfRence#slideshow/5232604596342502530
http://picasaweb.google.com/leminot
nous avons essayé de les caser,auprés d'amis malgaches,mais, ils ne soulévent ,pas les foules,pour le moins,
tirade, "en construction ", comme l'on dit,susceptible de reprises
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péle méle:
DE PETITES FLEURS POUR DE GRANDS MAUX
LA PERVENCHE DE MADAGASCAR (Catharanthus roseus)
Contre les leucémies, les cancers du poumon, du sein, de la vessie
Cette petite fleur délicate originaire de Madagascar recèle des myriades de molécules, dont la vinblastine utilisée pour soigner les leucémies et la vincristine destinée à traiter la maladie de Hodgkin. En 1972, l'équipe du Pr Pierre Potier, de l'Institut de chimie des substances naturelles du CNRS, met au point un procédé de synthèse de ces molécules et obtient ainsi la vinorelbine, qui traite les cancers bronchiques et les cancers du sein. Plus récemment, des chercheurs de l'université de Poitiers sont parvenus à synthétiser une autre molécule, la vinflunine, pour un nouveau traitement contre le cancer de la vessie. La pervenche de Madagascar ne peut s'employer telle quelle, ses propriétés antitumorales s'accompagnant d'une forte toxicité. La coquette fait cependant la joie des jardiniers par sa faculté à fleurir dès qu'elle se trouve une place au solei
Le seul ,intérét pour nous de faire ce copié/collé, de cet article,est d'avoir, en mode "texte" "interrogeable ".,qui nous permet,de retrouver un mot,repris dans cette citation,et,d'en garder ainsi latrace
Pierre Potier,qui ,comme Boiteau, connaissait ,trés bien Mada
La découverte d'anticancéreux à l'ICSN et réflexions sur la recherche pharmaceutique : Pierre Potier, François Chast, Le Magasin du Bon Dieu
Pierre Lieuthagi,
trouvé dans courrier des lecteurs
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Ceci pour une nouvelle fois attirer l'attention de notre cher ami Ndimby,
sur les occurences, des sujets touchant Mada, hors du cercle,de ses afficionados
un équilibre est peut étre a trouver entre une presse,malgacho-malgache,qui n'intérésse personne ,hors mis les malgaches, et investisseurs,(institutionnels ou pas )
Avoir peut étre le soucis, et , moteur actualitées de "Google" en donne ,un indice,de l'impact, des reprises d'articles, de son journal, en dehors du cercle florissant de ses supporters
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de la méme maniére,nous reprenons ,l'article de Mona M;,méme s'il nous plonge dans la plus grande des perplexitée:
http://www.madagascar-tribune.com/Le-saphir-de-tous-les-espoirs,14464.html
Le saphir de tous les espoirs
samedi 31 juillet 2010, par Mona M.
Moins d’un an après la sortie de « Dzaomalaza et le boutre brûlé », revoilà ce héros dans une nouvelle aventure : « Dzaomalaza et le saphir bleu ».
Le petit caïd du Nord de Madagascar se retrouve cette fois dans le sud de l’île, où il s’est rendu toujours poussé par son idéal : l’enrichissement immédiat et facile. La quête des pierres précieuses lui semble le moyen idéal pour atteindre son but. L’une, en particulier, le saphir bleu, suffirait à lui assurer la fortune. Mais pour atteindre le mystérieux caillou, il aura besoin du concours de trois femmes, qui toutes acceptent de l’aider en espérant bien avoir leur part du gâteau. Chacune nourrit des rêves différents pour cette richesse inespérée : une vie de confort et de plaisir pour la tumultueuse Evah, tandis que Masy veut combler de bienfaits sa famille dont elle se sent responsable. Revola, enfin, veut développer son village en permettant à l’ensemble de ses habitants l’accès aux soins et à l’école.
Créé non pas « juste pour faire un film » mais pour « pousser les jeunes au débat, les faire réfléchir sur ce qu’est pour eux une vie réussie », comme l’affirme Bruno Maes, représentant de l’Unicef, Dzaomalaza ne tombe pourtant pas dans le travers de bon nombre de films pédagogiques. Les écueils de l’excès de moralisation ou du manichéisme sont évités : le film ne prétend pas détenir la vérité absolue, mais propose plusieurs pistes, plusieurs chemins.
La qualité se retrouve à tous les niveaux : aussi bien dans le scénario (auquel les jeunes ont collaboré), que dans l’image (le film est tourné en HD) et dans le jeu des acteurs. Ces jeunes, pour la plupart des inconnus recrutés lors de castings à Antananarivo, Toliara et dans les villages, livrent ici une prestation très honorable. La chanteuse Onja Tinondia, seule célébrité de l’affiche – avec Michel Geromany, apparu lors du premier épisode – incarne Masy, l’un des rôles principaux. La musique, composée par Monja Magnitsindava, Aina Rasamoely, Rado Andriamanisa et Naty Kaly, mérite aussi d’être saluée. Les jeunes compositeurs, originaires eux aussi du sud du pays, ont produit des mélodies qui accompagnent très agréablement les tribulations du héros
Après le succès de « Dzaomalaza et le boutre brûlé », l’Unicef se veut plus ambitieuse encore pour les répercussions de ce deuxième épisode. Après la première, qui a eu lieu au Centre culturel français Albert Camus le jeudi 29 juillet, « Dzaomalaza et le saphir bleu » sera diffusé dans chacune des 22 régions. L’Unicef souhaite que chaque projection soit suivie de débats avec les jeunes, qui seront filmés et diffusés par les télévisions et radios. Le film évoque en effet de nombreux problèmes auxquels sont confrontés les jeunes Malgaches en général, et ceux du sud du pays en particulier : sècheresse, insécurité alimentaire, difficulté d’accès aux soins et à l’éducation, grossesses précoces, mariages forcés… Autant de questions pour lesquelles les témoignages des 10-24 ans, premiers concernés, sont primordiaux : « La population malgache compte 5 millions 700 mille jeunes, et ce chiffre aura doublé en 2025 », a indiqué, dans son discours d’ouverture, Bruno Maes, avant d’ajouter qu’« investir dans les jeunes, c’est tracer le chemin du développement d’un pays ». Aussi, l’Unicef ne compte pas s’arrêter là : un troisième volet des aventures de Daomalaza, cette fois dans la capitale, est prévu ; l’institution souhaite que le succès de cette série encourage la production de ce genre de film.
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