samedi 16 août 2014

lettre océan indien dépèches datant 15 jours source "factiva académique "

Je vous contacte au sujet des articles de La Lettre de l'Océan Indien que vous publiez dans leur intégralité sur votre blog : http://sainagasydadabe.blogspot.fr/2014/08/lettre-ocean-indien-depeches-datant-15.html
Vous n'êtes pas autorisé à diffuser des articles dont vous n'êtes pas l'auteur. Comme nous l'indiquons sur chaque article avec la mention à la loi sur le © Copyright, il est interdit de reproduire ou de diffuser nos articles sans notre autorisation; aussi je vous demande de retirer immédiatement tout article de La Lettre de l'Océan Indien de votre blog.

 Chére madame,
Isaline Fourdrinier
Isaline Fourdrinier
Assistante commerciale et marketing
01 44 88 26 08
fourdrinier@indigo-net.com
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SOLER Francis soler@indigo-net.com

11:06 (Il y a 3 heures)
À moi, FOURDRINIER
Chère Madame, vous n’y êtes pas du tout.
Notre bulletin est le seul produit de notre travail et non pas d’un quelconque accaparement comme vous le dites. Rien n’empêche les Malgaches, journalistes ou non, d’obtenir ces informations avant nous et de les diffuser auprès du public local. Mais en les reprenant sans notre autorisation vous pillez notre travail et vous vous faites une réputation sur notre dos. Quoique vous en pensez c’est non seulement illégal, mais moralement injuste. Et c’est vous qui commettez ainsi un acte de pillage et d’accaparement illicite. Si tout le monde faisait comme vous, nous n’aurions  plus qu’à mettre la clef sous la porte et ainsi disparaitrait une source d’informations indépendante, fiable et active depuis plusieurs décennies.
Bien à vous
Francis Soler
Rédacteur en chef de
La Lettre de l’Océan Indien
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avec toutes mes excuses
avec mes excuses
bien entendu, ces articles n'étaient destinés qu'a des malgaches, qui n'ont aucune chance de pouvoir s'offrir cette revue
Outil de domination, qui contribue , comme le concevait Gallieni, à une connaissance des colonisés , à leur insu
Confidentiel risque de vouloir dire , réservé , aux opérateurs étrangers friqués , pour leur permettre , de prospérer
 
votre bulletin information est très onéreux, et, exclut la majorité des malgaches
ce, malgrés qu'il vous permette de manger
C'est évidemment un outil d'accaparement, qui les déposséde  de leurs richesses
Nous le comparerons  , si vous nous excusez  cet humour , au brevet américain sur le vivant ,
et contribue , à déposseder les malgaches , de leurs richesses , et constitue ,un corpus de savoirs , qui les oppriment, et, dont ils sont exclus
Nous adressons à tous nos amis résidant à Madagascar, une sauvegarde privée , par mail, des articles que vous diffusez avec retard dans base de données " Factiva"

ALERTE LOI
Rio Tinto boycotte Air Madagascar
250 words
23 July 2014
IOLETF
1384
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

 
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WHO'S WHO
Arisoa Lala Razafitrimo
150 words
18 July 2014
IOLETF
1384
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

AFFAIRES & RESEAUX
Emirates Airlines à la rescousse
254 words
18 July 2014
IOLETF
1384
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

 
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AFFAIRES & RESEAUX
Roger Kolo veut taxer les télécoms
289 words
18 July 2014
IOLETF
1384
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

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RTE LOI
Ciel nuageux pour la compagnie nationale
359 words
9 July 2014
IOLETF
1383
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

 
WHO'S WHO
Patrick Rakotomalala
132 words
4 July 2014
IOLETF
1383
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

 
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AFFAIRES & RESEAUX
Un agent maritime qui revient de loin
254 words
4 July 2014
IOLETF
1383
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

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AFFAIRES & RESEAUX
Roger Kolo ne fait pas recette
246 words
4 July 2014
IOLETF
1383
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

 
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POLITIQUE & POUVOIRS
Un Français qui n'a pas froid aux yeux
367 words
4 July 2014
IOLETF
1383
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

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POLITIQUE & POUVOIRS/EN PREMIERE LIGNE
Vers une réforme du code malgache de la communication
172 words
4 July 2014
IOLETF
1383
French
Copyright 2014 Indigo Publications All Rights Reserved

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jeudi 14 août 2014

Oxmo Puccino 140 piles











Neuser Marie " Je tue les enfants français dans les jardins " Edit l'écaiiller 2011



































vous haissez Dadabe, vous révez d'étre sa (son) flowers
il vous bazarde la suite de ce bouquin, ou bien son dernier, en pdf,piéce jointe à mail, si, vous étes sur Madagascar


Tout comprendre du conflit entre Amazon et l'industrie du livre Par Audrey Fournier

Le Kindle est la liseuse maison d'Amazon.

Tout comprendre du conflit entre Amazon et l'industrie du livre16


Alors que le distributeur en ligne est en conflit avec l'éditeur français Hachette, 900 écrivains sont montés au créneau pour dénoncer des pratiques jugées déloyales

Le Monde.fr |  • Mis à jour le  |Par 





Le Kindle est la liseuse maison d'Amazon.
Le Kindle est la liseuse maison d'Amazon. | REUTERS/SHANNON STAPLETON

La fronde du milieu de l'édition contre Amazon, géant de la distribution en ligne, a gagné en ampleur le week-end du 9 août, avec la publication aux Etats-Unis d'une lettre de protestation signée par 900 écrivains de renom. En France et ailleurs, les librairies « en dur » peinent à faire face à la concurrence de l'e-commerce. Quelles sont les racines du conflit ?
  • Que reprochent les maisons d'édition à Amazon ?
Le groupe est engagé depuis de longs mois dans une lutte avec l'éditeur français Hachette, qui refuse de baisser le prix de ses livres numériques sur le marché américain. Amazon, qui souhaitait imposer un prix unique de 9,99 dollars (7,50 euros) sur les livres électroniques d'Hachette, a en effet tout à y gagner, car cela lui permettrait d'inciter les lecteurs à utiliser sa liseuse électronique Kindle. Le site commence déjà à tirer les tarifs vers le bas : par exemple, le best-seller américain Gone Girl de Gillian Flynn est disponible, en version originale, à 5,98 euros en format Kindle sur Amazon, contre 7,80 euros sur le site de la Fnac (mais en format ePub, qui peut être lu sur plusieurs dispositifs différents, pas seulement sur le Kobo, la liseuse « maison »).
Ce qui avait commencé comme un simple conflit commercial a peu à peu dégénéré et Amazon a pris des mesures de rétorsion contre la maison française : délais de livraison allongés, impossibilité d'effectuer des précommandes et suppression d'éventuelles réductions sur les livres.
Un groupe de 900 écrivains, réunis sous la bannière « Authors united » a publié une double page dans le New York Times le week-end dernier pour dénoncer ces pratiques. Parmi eux, de grands noms de la littérature, comme Paul Auster, John Grisham, Stephen King, Donna Tartt, mais aussi la canadienne francophone Nancy Huston, qui donnent de l'écho au combat, qui concerne moins Hachette en particulier que la défense du rôle des maisons d'édition en général.
Pour Amazon et Hachette, les enjeux ne sont pas comparables. L'e-commerce est une activité bénéficiaire pour Amazon, mais elle ne représente qu'une partie minoritaire de son chiffre d'affaires. Si Amazon recule sur le prix des livres électroniques, l'impact dans ses comptes sera donc faible, d'autant plus qu'elle détient 60 % de parts de marché aux Etats-Unis. Le préjudice pour Hachette serait vraisemblablement beaucoup plus important.
  • Peut-on parler de concurrence déloyale ?
Si le marché du livre électronique reste modeste (seulement 5 % du marché en France, mais plus de 20 % aux Etats-Unis), les ventes à distance (livres papier et électroniques) ne cessent de progresser : + 6 % en 2013 en France.
Amazon s'est positionnée depuis la fin des années 1990 sur ce créneau en proposant une offre large, expédiée dans des délais très serrés. Mais la loi Lang de 1981 sur le prix unique du livre contraint les libraires à ne pas dépasser les 5 % de rabais, ce qui limite leur marge de manœuvre et ne leur permet pas de jouer sur les volumes de vente.
Cherchant un moyen de faire baisser les prix sur le marché français, Amazon a tenté de faire passer les frais de livraison à 0 euro. La Fnac l'a imitée. Ce dumping n'a pas été vu d'un bon œil par le Parlement, qui a voté au printemps une loi dite « anti-Amazon » pour interdire le cumul de la gratuité des frais de port et le rabais de 5 %. Réponse des intéressés ? Faire passer les frais de port de 0 à... 1 centime d'euro « sur les commandes contenant des livres ». Et la Fnac de lui emboîter le pas.
Le but de ce texte, aussitôt promulgué, aussitôt contourné, était de protéger un secteur malmené depuis quelques mois, en figeant les prix. Sauf que l'attractivité d'Amazon ne tient pas seulement à sa volonté de proposer des prix bas, mais aussi, et surtout, à la taille de son catalogue et à ses moyens logistiques pour assurer une livraison rapide. Et sur ces points, les moyens déployés par Amazon sont effectivement disproportionnés par rapport à ceux des libraires indépendants, grâce notamment à une politique d'investissement massif dans les centres logistiques.
Un détail, et pas des moindres, Amazon est régulièrement pointé du doigt pour ses pratiques fiscales : la société paierait en effet un impôt largement inférieur à ce qu'elle devrait verser au vu de son chiffre d'affaires réalisé sur le territoire. Cet argument est repris par les pourfendeurs de la firme américaine, qui estiment qu'elle bénéficie de fait d'un avantage concurrentiel injustifié.
  • Comment s'en sortent les distributeurs français de produits culturels ?
Ancien hérault du cassage de prix, jusqu'à la promulgation du prix unique du livre en 1981, la Fnac tente de jouer à armes égales avec Amazon, en s'appuyant sur son vaste réseau de magasins et sur le Kobo, sa liseuse maison, adossée à sa propre plateforme de distribution de livres électroniques. L'agitateur culturel a publié des résultats positifs en début d'année, fruit de sévères mesures d'économie et d'un plan social. Le but : livrer aussi vite qu'Amazon tout en proposant des prix attractifs, et se diversifier sur d'autres produits (électroménager). La stratégie s'est avérée payante, à court terme.
Au contraire, le réseau de librairies Chapitre, deuxième en France après la Fnac, a mis la clé sous la porte en début d'année. Constitué de librairies indépendantes regroupées pour mieux survivre, ce réseau a échoué à faire repartir son chiffre d'affaires et les 57 magasins ont été mis en vente pour les transformer en « réseau de librairies indépendantes ». La stratégie du groupe, qui a consisté à uniformiser les librairies en les faisant passer sous la toise de France Loisirs, n'a pas convaincu la clientèle de revenir. 
  • La France est-elle la seule à faire de la résistance ?
Non. De grands libraires américains pâtissent aussi de la concurrence d'Amazon. Barnes & Noble a ainsi vu son chiffre d'affaires chuter de 10 % en deux ans, victime de l'essor du commerce en ligne et du développement des livres numériques, dans un pays où lire sur tablette est devenu banal. Pour survivre, Barnes & Noble vient d'annoncer avoir noué un partenariat avec Google sur la livraison, pour pouvoir acheminer plus vite les commandes grâce au service de messagerie Google Shopping Express.
Le libraire a en outre laissé tomber sa liseuse Nook, et noué un partenariat avec Samsung pour proposer sa plateforme de livres numériques sur les tablettes du fabricant coréen. En cinq ans, Barnes & Noble a fermé une soixantaine de librairies aux Etats-Unis, mais a réussi à compenser le repli du chiffre d'affaires par des coupes dans ses dépenses. Reste à savoir combien de temps cette stratégie sera efficace.
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Marie Neuser, Marseille à la vie à la mort // Gilles Rof et Yann Plougastel // Le Monde 8 aout

Marie Neuser appartient à une nouvelle génération d'écrivains marseillais de romans noirs.

Marie Neuser, Marseille à la vie à la mort


Du polar dans le terroir (5/6). La citée phocéenne a imprimé la rétine et l'imaginaire de l'auteure, prof en ZEP.


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LE MONDE |  • Mis à jour le  |

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Marie Neuser appartient à une nouvelle génération d'écrivains marseillais de romans noirs.
Marie Neuser appartient à une nouvelle génération d'écrivains marseillais de romans noirs. | GIULIA D'ANNA LUPO

Du polar dans le terroir (5/6). Frange et queue-de-cheval, petit Perfecto sur haut léopard. Rouge à lèvres claquant. Regard de défi. Marie Neuser a un look sixties. A 44 ans, cette agrégée d'italien est professeure dans le 3e arrondissement de Marseille, classé « quartier le plus pauvre de France » par une étude Compas de janvier et « pire lycée de la ville au regard des résultats du bac ».
Mère d'un garçon de 9 ans et demi, elle est la compagne d'un musicien de rock, leader de l'ex-groupe Elektrolux, assez connu dans le milieu alternatif français. Elle a publié Je tue les enfants français dans les jardinset Un petit jouet mécanique (L'Ecailler 2011 et 2012). Marie Neuser appartient à une nouvelle génération d'écrivains marseillais de romans noirs, révélés dans le recueil de nouvelles Marseille Noir (Asphalte, 250 p., 18 euros).
FEUILLES VOLANTES DANS PETIT CLASSEUR
Elle n'écrit jamais chez elle, préférant s'installer à la terrasse d'un café, dès que le temps le permet, ou en salle, « pour laisser traîner ses oreilles et attraper des bouts de réalité ». « J'ai besoin de sortir pour trouver l'intimité du travail », explique-t-elle en jouant du paradoxe. Petits noirs serrés, cigarettes roulées… composent l'essentiel de son paquetage d'écrivain. Elle fréquente toujours les mêmes troquets, la terrasse couverte des Danaïdes, tout en haut de la Canebière, en hiver, et en été les bars de la Plaine, son quartier, une grande esplanade perchée sur une butte, ou Le Dernier Métro, boulevard Chave… à côté du tramway.
Elle écrit sur des feuilles volantes réunies dans un petit classeur. Celui qu'elle conseille à ses élèves du lycée Victor-Hugo, dans l'hyper-centre, où elle enseigne l'italien.
« Je travaille dans un ghettoEn dix-huit ans, j'y ai vu le niveau et l'ambiance se dégrader énormément. Ça fait mal. On a l'impression d'enseigner dans des ruines. On comble les lacunes de l'éducation parentale, sociale… Je ne suis pas amère, mais, après tout ce temps, j'aimerais faire mon métier complètement, et, un jour, sourit-elle les yeux pétillants, pouvoir parler de Dante à des élèves émerveillés. »
« LA GRANDE VILLE CRASSEUSE »
Marie Neuser ne s'imagine pas quitter cette ville où elle est née : « Je me suis souvent posé la question… Je ne sais pas où j'irais habiter, aucune autre ville ne m'attire autant. » Après la faillite de L'Ecailler, elle cherche un nouvel éditeur pour son dernier roman, basé sur un fait divers qui s'est déroulé en Italie.
Pour elle, l'écriture part toujours d'une colère. Si son premier roman traite de violence scolaire, c'est parce qu'elle en fut victime. Les scènes sont vécues. Elle a été étranglée contre un tableau de classe. « Mon travail d'écrivain consiste à mettre des mots sur mes sentiments, mes sensations. Je me suis lancée dans mon deuxième roman après avoir découvert l'existence du syndrome de Münchhausen par procuration. Je venais d'être maman et je ne pouvais comprendre que des femmes rendent leur enfant malade sciemment. » La nouvelle, publiée dans Marseille Noir, découle, elle, de son amour pour les îles du Frioul : « J'avais très envie d'écrire une histoire qui s'y passe entièrement. J'ai toujours été attirée par les îles, comme les enfants aiment les cabanes. On y est coupé du reste du monde. C'est ludique, une île. »
Alors que, dans son premier roman, Marseille n'est pas citée, elle parle de« la grande ville crasseuse », tout le monde l'a reconnue.
« Cette ville n'est pas forcément mon lieu d'inspiration, mais c'est un décor idéal pour le roman noir. Elle porte un sens terrible du tragique. C'est une scène de théâtre. Il suffit de voir comment les gens réagissent, sont hyperboliques en tout, ont des rapports extrêmement charnels et immédiats. Ici, tout se dénoue à coups de menace de mort, de coups de couteau. »
Elle insiste sur sa lumière exceptionnelle, bien loin des codes habituels du roman noir – pluie, brume, mystère. « La lumière est si forte que la ville et les gens sont complètement à poil, à la vue de tous. Une image cramée par le soleil. »
JAMES ELLROY, CÉLINE OU PROUST
Pour Marie Neuser, Marseille, c'est aussi la nature, la mer, les rochers… là, aux portes de la ville. « Ici, la nature est violente. Elle fait peur, comme ces gabians omniprésents dans ma nouvelle. L'oiseau, à Marseille, ce n'est pas un petit piaf. C'est ce monstre blanc qui attaque les petits chiens, défonce les poubelles, vous réveille en beuglant. Cet animal extrêmement lumineux, extrêmement agressif, avec une arme à la place du bec. Ça dit forcément quelque chose de la ville. C'est un charognard… Le matin, régulièrement, tu peux en voir qui mangent des rats. »
Nourrie de James Ellroy, Dennis Lehane, Carlos Salem, Pascal Dessaint, mais aussi de Julien Green, de Céline ou de Proust, elle aime le récit du débordement, de la violence, du désespoir, du passage à l'acte… « Le côté éruptif de mes histoires colle à cette ville. Ici, on est capable d'aller loin et vite. Et de le regretter après. Dans Marseille Noir, l'héroïne ne fait pas exprès de tuer son compagnon. C'est juste parce qu'elle coupait le poulet et qu'il est passé à ce moment-là. J'avais envie de parler d'amour. Mais d'une manière violente, acérée, incorrecte… »
Il est frappant de constater combien les auteurs marseillais de romans noirs se rejoignent sur la façon dont cette ville a formaté leur rétine. Attachés au réalisme, Marie Neuser et ses confrères voient les choses avec une impudeur et une violence que l'on ne rencontre guère ailleurs… Comme s'ils mettaient cette ville à nu dans tout ce qu'elle a de plus sordide. « Il y a une réalité sociale, géographique, humaine dans cette ville qui l'empêche d'être simplement un décor. »
Lire aussi les épisodes trois et quatre de la série (édition abonnés) : Elena Piacentini, la reine corse du polar ch'ti etSylvie Granotier a « mérité la Creuse »